Steppique s'il en fut que cette vingt-troisième semaine de l'an 24 ! Outrances électoralistes, émotions du Débarquement, le dîner des Biden, les bombes d'Israël, les Soulèvements de la terre incendiaires, les Mirage-tiret-cinq de la catégorie des promesses qui n'engagent que ceux qui les entendent, gagner Roland-Garros à vingt-et-un an contre le tombeur de Nadal tandis que je déchiffrais le Scarabée d'or d'Edgar Poe et pour finir, le pétardage de la Chambre basse par zombification de la macronie aux élections européennes. Au résultat, nous envoyons quatre-vingt-un rationnaires au parlement fédéral dont une trentaine n'y fera que du lard puisqu'ils sont contre l'institution par principe et en même temps, nous ouvrons en France une crise politique d'ampleur.
Il n'y avait cette fois pas de vote utile pour la simple raison que le parlement de Strasbourg est peu utile, même s'il est dans la boucle. Le vrai pouvoir reste dans les mains de la Commission européenne qui est rompue à faire passer ses propositions tant au Conseil des Etats que du Parlement pour les publier en directives de son cru par la suite. Lesquelles sont transposées à-la-manière-de au niveau national. Vous pouviez donc voter pour une liste à l'audience minuscule pour vous faire plaisir, que cela n'aurait rien changé plus tard à Bruxelles, quoiqu'en disent médiats et docteurs intéressés.
La suite du mélodrame français au 30 juin pour le premier tour des élections législatives, puis le 7 juillet pour la procédure de cohabitation.
ALSP !
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