Normalement, l'actualité commanderait que ce blogue de plein vent daube sur le combat de titans américains qui va s'achever demain soir, heure d'Honolulu. Allons-y donc ! Bien des gens de mon entourage craignent l'un des résultats beaucoup, et l'autre résultat un peu, et le reste de la planète retient son souffle, sauf à Lae en Papouasie (c'est un code). Ce n'est pas tant entre un vieux cabot de la téléréalité et une techno du Deep State que l'affaire se joue mais plus sérieusement entre l'Etat fédéral et les Etats fédérés, entre ceux qui se prennent en charge et ceux qui sont pris en charge, entre les filles de Country nourries au grain de choix et les végétariennes de la mégapole qui pèsent leur cul chaque matin. C'est un monde simple et autonome mais travailleur, qui affronte le socialisme invasif dans tous ses états, wokisme et assistanat compris. Qu'en sera-t-il de nous demain ?
Les deux faces de la même pièce : chacun d'eux considère l'Europe comme un gros cochon châtré, vautré dans la bauge de ses avantages sociaux et incapable de se défendre, sauf que l'un le dit, et l'autre le cache. Je n'avais aucune confiance dans l'administration Biden (Harris n'y fut pour rien) qui a laissé Boris Johnson nous faire un enfant dans le dos en Australie en torpillant le programme de sous-marins français en 2021 pour se venger de la dureté des conditions imposées aux Anglais par le négociateur français dans les clauses du divorce euro-britannique. Que l'affaire australienne AUKUS soit aujourd'hui très mal engagée provient aussi d'un grave défaut d'analyse des capacités de l'industrie navale américaine par l'administration précitée. Les chantiers navals capables de construire les SNA de la classe Virginia n'arrivent pas à fournir les commandes de l'US Navy pour diverses raisons et la Grande Bretagne dont l'industrie est à la ramasse n'en fera pas plus. Reste à amuser le gouvernement australien (pas celui qui a signé) avec des alternatives pleines de mots à peu d'effets.
Certes Trump est un type infect mais il n'a jamais menti nous concernant, et son adversaire Harris n'a manifestement pas les épaules. Il serait temps que l'Europe rompe le cordon ombilical et se recentre sur son destin, plutôt que d'attendre qui le redneck du Wisconsin nous choisira.
La semaine écoulée nous a montré ce qu'était un déluge biblique à Valence. Quelles que soient les mesures à prendre pour ralentir le réchauffement climatique, nous ne ferons pas l'économie de notre adaptation aux conditions futures certainement moins favorables à l'espèce humaine surdéveloppée qu'elles ne le furent au XXè siècle. N'attendons pas l'Etat et ses décrets pour agir, pensons par nous-mêmes notre environnement proche avec du bon sens et nous aborderons aux rivages de la sûreté augmentée. Vivre en région parisienne sous la cote 1910 n'est pas génial. Et si l'Etat cure les fossés de drainage, les lits des torrents et rivières, les ouvrages hydrauliques des polders, ce sera un plus ! Cessons enfin l'artificialisation des sols en collant au mur les édiles qui s'y prêtent à tout bon motif.
Un quatrième paragraphe pour faire le poids ? En ces jours d'Amérique, j'aurais aimé vous parler de Dita Von Teese au Crazy Horse Saloon mais pour la Toussaint, ce n'était pas top.
ALSP !
Le monde qui vient sera plein de surprise. En Espagne européenne, des mécontents parce qu'il pleut trop jettent de la boue sur leur Roi qui n'a aucun pouvoir sur les nuages. Pendant ce temps une gamine iranienne burnée comme un légionnaire du REP, en sous-tif/culotte défie les barbares islamique dans leur fief. Le courage et l'honneur ont migré! Aucune election n'y changera rien.
RépondreSupprimerD'ici, je sens l'odeur d'urine du mollah qui empeste. Quel courage ! Presque une tentative de suicide hélas.
RépondreSupprimerL'apocalypse de Valence à dépassé tout le monde, y compris la Casa Real.
Faire entrer la police montée dans le champs des désespérés avec le président de région fautif n'était pas la bonne idée.